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Corps en Immersion

Une actualité dans les arts et les sciences à travers les corps pluriels.

Mécatronic

Publié le 4 Janvier 2016 par Anaïs BERNARD dans exposit

Mécatronic

Exposition
Du 15 janvier au 20 mars

Vernissage le 14 janvier 2016, dès 18h30

 

VISITES GUIDEES :
Durée : 45min. Entrée libre. Réservation conseillée.
Mercredi 20 janvier 2016 – 19h00
Mercredi 3 février 2016 – 19h00
 


Zaven Paré est un artiste chercheur, pionnier de la robotique dans les arts visuels. Son esprit foisonnant et le coup de crayon à l’origine de ses premiers rêves, l’amènent à concevoir des dispositifs vulnérables et fragiles à contre-courant des arts numériques et frôlant poétiquement avec l’idée de la panne. Il imagine ainsi des objets à mi-chemin entre des sculptures mécaniques en morceaux et des installations de fragments de machines.

A l’univers des Meccanos, il emprunte à ce jeu l’utilisation de pièces détachées de constructions permettant l’assemblage d’instruments d’optiques, d’appareils mécaniques, de dispositifs pneumatiques et électroniques.
Pour cette exposition, il sera notamment possible de croiser un chœur de 12 enfants qui murmurent, la relique d’un dieu éléphant robotisé et 28 antennes de voitures qui ont le trac.
Un cabinet de curiosités mécanique qui couine et bouge.

 


L'exposition MECATRONIC au CDA se poursuit par l'exposition ROBOTS COBAYES à la Médiathèque George Sand 
 


EVÉNEMENTS ASSOCIÉS
Confexpo
JEUDI 17 MARS 2016 À 18H30
Confexpo, c’est une conférence qui part de l’exposition en cours vers l’actualité artistique, de l’histoire de l’art vers les arts numériques.
Rencontre précédée d’une visite de l’exposition à 18h00
Un cycle mené par Dominique Moulon, critique en art et médias.

 


Récré artistique : Arts plastiques
DIMANCHE 07 FÉVRIER 2016 À 15H
Un atelier d’arts plastiques autour de l’exposition est proposé aux enfants de 6 à 12 ans.
Une façon d’aborder la création contemporaine par la pratique et en s’amusant.
Atelier animé par Emmanuel Cuisinier, responsable des expositions du CDA.
2H. De 6 à 12 ans.
5€ à 10€

 

Adresse:

Centre des arts d'Enghien

12-16 rue de la libération, 95880 Enghien-les-Bains

LE TEASER

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Coder et décoder la frontière à l’aube du 21ème siècle

Publié le 3 Janvier 2016 par Anaïs BERNARD dans appel à projets, appel à candidature

Coder et décoder la frontière à l’aube du 21ème siècle

Exposition : Coder et décoder la frontière à l'aube du 21ème siècle,
Du 13 au 30 avril 2016
Bruxelles

 

Coder et décoder la frontière à l’aube du 21ème siècle est un événement au croisement de l’art, de la recherche et de la pratique. Articulant une exposition et un colloque international, il accueillera à la faculté d’Architecture, à la faculté de Philosophie et Sciences sociales de l’Université Libre de Bruxelles et au siège de l’Organisation mondiale des douanes des chercheurs, des artistes et des experts qui discuteront de la technologisation croissante du contrôle des personnes, des marchandises ou des capitaux qui franchissent les frontières.
A l’instar des événements précédents organisés par l’antiAtlas des frontières, ce colloque/exposition propose un véritable décloisonnement entre les champs de la connaissance, de la création, et de la pratique. En offrant différents niveaux de lecture et de participation, il s’ouvre au-delà du monde universitaire, politique et professionnel pour toucher le grand public.

L’appel à projet concerne l’exposition qui se tiendra du 13 au 30 avril à L’Espace Architecture La Cambre Horta sur le site Flagey de l’Université Libre de Bruxelles.

Les commissaires d’exposition et le comité scientifique et artistique sont à la recherche d’œuvres diverses (net.art, installations, vidéos, documentaires, jeux vidéo, œuvres plastiques…) qui rendent compte des processus liés à la technologisation du contrôle aux frontières, qu’il porte sur les personnes, les marchandises ou les capitaux. Depuis les vingt dernières années, de nombreux acteurs (chercheurs, journalistes, travailleurs et activistes d’ONG, élus politiques, employées des administrations nationales et des organisations internationales, etc.) observent, documentent, étudient et parfois dénoncent la technologisation du contrôle des frontières. Aux pratiques de contrôle traditionnelles s’ajoute, outre la militarisation de la frontière, le déploiement de technologies de plus en plus sophistiquées (biométrie, robots, murs, systèmes de surveillance intégrés, prospection de données ou data mining, big data, etc.) aux frontières des États pour contrôler les mouvements de populations, de marchandises, de capitaux et d’information. L’examen de cet intense déploiement technologique tend généralement à séparer l’analyse selon les objets de contrôle : les personnes, les marchandises, les capitaux. Il convient cependant de se poser la question de l’éventuelle circulation et transfert des connaissances et des techniques d’un de ces objets à l’autre. Quel que soit l’objet, l’analyse du contrôle aux frontières est soumis aux mêmes questionnement relatifs : efficacité, « fraude », détournement.

 

Date limite de réception des dossiers : 15 janvier 2016
Date de sélection des œuvres par le comité scientifique et artistique : 30 janvier 2016

Les projets sont à envoyer sous forme de dossier (pdf), comprenant une présentation du projet et des visuels, à l’adresse suivante :antiatlas.contact@gmail.com

L’antiAtlas n’est pas en mesure de financer la production de nouvelles œuvres mais les projets sélectionnés recevront 500€ pour les droits de diffusion.

Le site de l’antiAtlas : www.antiatlas.net

Commissariat d’exposition : Isabelle Arvers (antiAtlas, Kareron) et Nathalie Levy (ULB)

Communication : Myriam Boyer (antiAtlas, Kareron)

Comité d’organisation

Andrea Rea (ULB), Thomas Cantens (OMD, antiAtlas), Patricia Revesz (OMD), Cédric Parizot (IREMAM, CNRS/Aix Marseille Université, antiAtlas), Anne Laure Amilhat-Szary (PACTE, CNRS/Universités de Grenoble, antiAtlas), Jean Cristofol (Ecole supérieure d’art d’Aix-en-Provence, antiAtlas), Federica Infantino (ULB, antiAtlas), Julien Jeandesboz (ULB), Antoine Vion (LEST, CNRS/Aix Marseille Université)

Comité scientifique

Anne Laure Amilhat-Szary (PACTE, CNRS/Universités de Grenoble, antiAtlas), Didier Bigo (King’s College), Thomas Cantens (Organisation mondiale des douanes/ antiAtlas), Jean Cristofol (École supérieure d’art d’Aix-en-Provence, antiAtlas), Federica Infantino (ULB, antiAtlas), Dirk Jacobs (ULB), Julien Jeandesboz (ULB), Christian Olsson (ULB), Cédric Parizot (IREMAM, Aix Marseille), Andrea Rea (ULB), Patricia Revesz (OMD), Antoine Vion (LEST, Université Aix Marseille)

Partenaires

Faculté de Philosophie et Sciences sociales de l’Université Libre de Bruxelles, Group for Research on Ethnic Relations, Migration & Equality (GERME), l’Organisation Mondiale des Douanes, l’antiAtlas des frontières, l’Institut de Recherches et d’études sur le Monde Arabe et Musulman (CNRS/Aix Marseille Université), le projet LabexMed (Aix Marseille université, Fondation A*midex), le Laboratoire Méditerranéen de Sociologie (CNRS/Aix Marseille Université), le Laboratoire d’Économie et de Sociologie du Travail (CNRS/Aix Marseille Université), PACTE (CNRS/Universités de Grenoble), Kareron et l’École supérieure d’Art d’Aix en Provence

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Entrez dans un tableau de Dali grâce à la réalité augmentée

Publié le 3 Janvier 2016 par Anaïs BERNARD dans actualite

Entrez dans un tableau de Dali grâce à la réalité augmentée

Les vrais génies créatifs ont toujours trouvé un moyen de créer au-delà des limites de leur temps - à partir des compositions de Beethoven pour les clés encore inexistants à l'œuvre avant-gardiste de peintres surréalistes - l'art ne connaît pas de limites. Et maintenant, vous pouvez apprécier l'œuvre de Salvador Dalí par une toute nouvelle approche: par voie de réalité virtuelle. Lors du week-end du 23 janvier 2016, le Salvador Dalí Museum de St. Petersburg, en Floride, a introduit une expérience de VR pour le public qui peut rentrer dans l'une des célèbres peintures de l'artiste catalan Réminiscence archéologique de Millet "Angélus" (1935) . Cette expérience permet aux spect-acteurs de voir le travail de Dalí comme jamais auparavant , en se déplaçant à ​​l'intérieur d'une interprétation tridimensionnelle du chef-d'œuvre de l'artiste.

Dans ce qui est peut-être la réalisation la plus littérale des objectifs de surréalistes, l'idée de l'expérience VR a pris naissance il ya plus d'un an de l'esprit de Goodby Silverstein & Partners directeurs créatifs Sam Luchini et Roger Baran. En expérimentant avec un Oculus Rift , le duo réalise que le casque pourrait avoir des implications majeures dans le monde de l'art, et a pris contact avec Musée Dalí, qui a rapidement sauté sur cette idée. L'exposition qui en résulte est une exploration de l'imagination de Dalí et sa relation avec Walt Disney - celle qui a donné lieu à certains des travaux les plus spectaculaires à travers les deux les arts et les industries de film à l'époque.

"[Le musée] réalise cette exposition comme une bonne occasion d'essayer et de mettre en valeur une expérience VR", a déclaré Luchini Co.Create. "Cela est particulièrement vrai depuis Dali et Disney ont collaboré ensemble lors de la court métrage d'animation Destino et individuellement étaient toujours à la recherche de nouvelles façons d'explorer l'intersection de l'innovation et de l'art."

Ensuite, les directeurs créatifs ont eu à sélectionner une pièce phare et de la réaliser virtuellement, finalement leur choix c'est porté sur Réminiscence archéologique de Millet "Angélus".  "Nous avons imaginé ce que ce serait comme d'être une petite fourmi regardant ces énormes tours," dit Baran. "Nous avons immédiatement commencé des recherches sur la peinture et trouvé la citation de Dali sur la peinture,« je me suis rendu à une brève imaginaire au cours de laquelle je l'imaginais sculptures des deux chiffres dans Angélus de Millet creusées dans les rochers les plus élevés. » Il était le match parfait. "

"Heureusement Dali recréé de nombreux éléments dans d'autres œuvres si nous étions en mesure de refléter les précision dans notre expérience de VR", a noté Luchini. "Technologie-sage, nous voulions créer un monde de gens étaient libres d'explorer comme ils le souhaitaient et, finalement, muni d'une façon plus engagée à vivre l'art."

Donc enfiler un casque de réalité virtuelle et vener vivre l'expérience de vous promenez dans l'une des oeuvres du plus grand peintre de l'histoire, grâce à une vision à 360 degrés.

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Voeux 2016

Publié le 2 Janvier 2016 par Anaïs BERNARD dans actualite

Voeux 2016

Corps en Immersion vous souhaite une année 2016 toute en expérience, en projet et en réussite. Que la folie, le rêve et la magie soient vos compagnons d'aventure pour vivre ces espaces, ces univers et ces mondes qui sont à explorer et dont vous êtes les acteurs.

 

Bonne et heureuse année 2016 !

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Corps, images, matières

Publié le 2 Janvier 2016 par Anaïs BERNARD dans ouvrage

Corps, images, matières

Cet ouvrage, édité dans le cadre d’une série de rencontres annuelles organisées aux Musées Gadagne, est consacré aux théâtres contemporains de marionnettes et d'objets ; il s'attache à l’histoire et aux devenirs d’un double mouvement d’attraction artistique, de la marionnette vers les autres arts et des autres arts vers la marionnette.
Tandis que des spécialistes de la danse, de la mode et du design, du cinéma, se penchent sur la façon dont la marionnette tient lieu de muse et de modèle pour nombre de créateurs, des spécialistes des théâtres de marionnettes et d'objet analysent comment les marionnettistes contemporains trouvent, dans le dialogue qu'ils nouent avec d'autres arts et médiums, matière à renouveler la Conception et l'écriture de leurs spectacles.

 

Sermon J. (dir.), 2015,  Corps, images, matières - Le dialogue entre la marionnette et les autres arts, SilvanaEditoriale: Les rencontres de Gadagne, 96 pages, 20.00 euros.

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RECHERCHE, ART, PRATIQUES NUMERIQUES #1

Publié le 1 Janvier 2016 par Anaïs BERNARD dans conférence

RECHERCHE, ART, PRATIQUES NUMERIQUES #1

Mercredi 13 Janvier 2016
10h00-12h30

IMéRA
2 place le Verrier
13004 Marseille

Comité d’organisation :
Cédric Parizot (IREMAM, CNRS/AMU), Jean Cristofol (Ecole Supérieure d’Art d’Aix en Provence), Benoit Fliche (IDEMEC, CNRS/AMU), Jean-Paul Fourmentraux (LESA, AMU, Centre Norbert Elias, EHESS)

 

Thématique du séminaire

Ce séminaire transdisciplinaire s’intéresse aux perturbations productives que génèrent les collaborations entre les chercheurs en sciences humaines et les artistes dans le domaine du numérique. Il s’inscrit dans la suite des réflexions et des expérimentations que nous avons menées à l’IMéRA dans le programme antiAtlas des frontières depuis 2011 tout en élargissant notre questionnement au-delà de la seule question des frontières.

Dans le domaine des sciences humaines et sociales, le recours aux pratiques numériques conduit à de nombreux bouleversements que ce soit dans la collecte, la production et le traitement de données, ainsi que l’élaboration de nouvelles formes de narration et d’édition. Le tournant numérique conduit les chercheurs à reconsidérer leurs méthodes, leurs catégories, leurs paradigmes, leurs orientations théoriques, leurs objets, leurs formes de labellisation et les cadres des champs disciplinaires[2]. D’ailleurs, compte tenu des collaborations toujours plus nombreuses qu’implique le recours au numérique entre d’un côté les sciences humaines et de l’autre les sciences exactes et expérimentales, il semble plus pertinent de parler de Digital Studies que Digital Humanities.

Dans le domaine de l’art, le numérique ouvre également des champs de pratiques radicalement nouveaux. Il transforme la relation des artistes aux outils qu’ils utilisent et aux connaissances qu’ils convoquent, produisent ou questionnent. Il transforme le statut et les formes des œuvres. En introduisant de nouvelles modalités pour assurer leur circulation, il modifie également leur relation avec le public. Le numérique bouleverse la place de l’auteur qu’il place dans une relation dynamique par rapport aux flux d’information, de circulation des images, des sons et des formes. Il donne ainsi une nouvelle importance à l’invention de dispositifs dans lesquels ces formes sont données à l’expérience, ouvrant d’infinies possibilités d’interaction avec l’œuvre. Il donne enfin une nouvelle dimension au travail collectif, à des formes diverses de collaborations, d’échanges et de contributions. D’une façon générale, on peut dire que le numérique déplace les pratiques artistiques et conduit à réfléchir autrement les relations entre arts et sciences.

Ce séminaire rassemblera des chercheurs en sciences humaines (sociologues, anthropologues, politologues, géographes, historiens, littéraires), en sciences dures (informaticiens, physiciens, mathématiciens, etc.), des artistes (designers, hackers, programmeurs, média tactique, etc.) ainsi que des professionnels (industriels, chargés de communication, etc.). Notre objectif est de favoriser des croisements, des emprunts et des déplacements qui seront propices à l’identification de nouvelles pistes de réflexion et de recherche, voire à la mise en œuvre d’expérimentations collaboratives.

Chaque mois, des participants seront invités à présenter leurs expérimentations d’outils numériques de collecte (applications mobiles, capteurs oculaires, systèmes SIG, etc.) ou d’indexation et de traitement des données recueillies (bases de données, systèmes de visualisation ou de sonification, etc.). Certains feront part de leurs explorations de dispositifs d’écriture et de modélisation de la connaissance (jeux vidéo, machinima, web documentaires, etc) ou encore de nouvelles formes d’édition électroniques.

 

Trois types de questions seront développés.

1) Il s’agira tout d’abord de voir comment, et jusqu’à quel point, ces pratiques et instruments transforment notre rapport au monde, nos méthodes de recherche, la construction de nos objets, la modélisation et la diffusion de notre connaissance et de nos œuvres.

2) Nous nous interrogerons aussi sur l’impact des processus collaboratifs qu’impliquent les pratiques numériques entre chercheurs, artistes et professionnels. L’objectif est d’évaluer les apports que chaque démarche (scientifique, artistique, professionnelle) apporte aux autres.

3) Nous verrons enfin comment ces processus collaboratifs bouleversent les champs disciplinaires, les points de vue et les formes d’autorité qui organisent notre recherche et notre pratique et conduisent à repenser de manière créative de nouvelles formes de rencontre entre les disciplines scientifiques et entre celles-ci et les non-spécialistes.

Commençant en janvier 2016, ce séminaire fonctionnera selon un rythme de rencontres mensuelles, d’une durée de trois heures.

 

Interventions :

  • Jean Cristofol (Ecole supérieure d’art d’Aix-en-Provence) : “Art, sciences et processus exploratoires”
  • Jean-Paul Fourmentraux (LESA, AMU, Centre Norbert Elias, EHESS), “Créer à l’ère numérique : arts, sciences, technologies”
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